Vent dans le dos... on en a gros.
Publié : 07 juil. 2022, 16:32
Petite course dans le centre ville de Grenoble entre midi et deux alors j'enfourche le gros histoire de remettre un peu les guiboles en marche.
Ca fait un moment que je me cantonne simplement au train/vélo/taf avec le fat et que l'envie d'aller en forêt ne vient plus aussi facilement que pré-covid. C'est dingue, moi qui adorait aller prendre soin des sentiers du coin et suer pour la bonne cause...
Bref, je file sur la digue plate et bitumée et les rafales de vent contraires me disent clairement : "non c'est pas possible, tu te calmes". Et c'est la première fois que ça ne me dégoutte pas. j'arrive à conserver un certain rythme et finalement en descendant les rapports, le paysage qui défile est certes plus lent mais l'effort est le même qu'à +30km/h. J'arrive en sueur et la banane pour repartir ensuite direction boulot. Je reprends la digue et zouh cette fois le vent presque dans le dos et c'est Monza direction Echirolles. Les piétons se retournent à 100m à cause du bruit et je pousse comme un âne sur les pédales, c'est la classe avec en prime la fraîcheur d'Eole et cette sensation d'invicibilité. En sueur et toujours la banane...
En fait cette histoire d'envie, de goût et de motivation ce n'est peut-être qu'une affaire de "vas-y monte sur le vélo et avance, on verra plus tard". Reste plus qu'à reprendre le chemin des Dryades.
Ca fait un moment que je me cantonne simplement au train/vélo/taf avec le fat et que l'envie d'aller en forêt ne vient plus aussi facilement que pré-covid. C'est dingue, moi qui adorait aller prendre soin des sentiers du coin et suer pour la bonne cause...
Bref, je file sur la digue plate et bitumée et les rafales de vent contraires me disent clairement : "non c'est pas possible, tu te calmes". Et c'est la première fois que ça ne me dégoutte pas. j'arrive à conserver un certain rythme et finalement en descendant les rapports, le paysage qui défile est certes plus lent mais l'effort est le même qu'à +30km/h. J'arrive en sueur et la banane pour repartir ensuite direction boulot. Je reprends la digue et zouh cette fois le vent presque dans le dos et c'est Monza direction Echirolles. Les piétons se retournent à 100m à cause du bruit et je pousse comme un âne sur les pédales, c'est la classe avec en prime la fraîcheur d'Eole et cette sensation d'invicibilité. En sueur et toujours la banane...
En fait cette histoire d'envie, de goût et de motivation ce n'est peut-être qu'une affaire de "vas-y monte sur le vélo et avance, on verra plus tard". Reste plus qu'à reprendre le chemin des Dryades.