Bonjour
Je me suis remis à la course à pied pour muscler mon mollet interne et avoir un corps de rêve et mettre des strings cet été à la plage . Il y a une question qui me tarabuste quand je cours au bout de 20/30 mn les endorphines arrivent et j'ai l'impression que je pourrais courir sans plus jamais m'arrêter, et je n'ai plus trop l'impression de forcer. Avec le vélo je n'ai jamais eu cette sensation, il y a toujours un effort à fournir et j'ai pas cette sensation de pouvoir rouler jusqu'au bout du monde sans m'arrêter.
Idem pour moi.
Le running c'est vachement plus "hypnotique"
Quand tu coures dans ta fréquence cardio dite fondamentale (60-70% de ta fréquence max), ta respiration est calée ainsi que tes foulées, tu rentres dans une sorte d'hypnose (une bulle) et tu as le sentiments de pouvoir continuer ainsi sans t'arrêter.
En piscine, je retrouve la même chose.
En VTT, non, trop irrégulier comme effort.
Modifié en dernier par Tam le 02 mai 2023, 19:58, modifié 1 fois.
FatMau a écrit : ↑02 mai 2023, 19:28
Peux pas dire je ne cours pas.
Par contre ce que je peux dire,c'est que tout ceux que je connais et qui courent régulièrement ont plus tendance à se blesser.
Tu dis ça pour que j'arrête de courir ... Blessure de quel ordre ? accident ou ligamenteuse ou musculaire ? Cela faisait longtemps que je ne pouvais plus courir soucis mollet et dos, et la avec le protocole de mon kiné ça fait parti du protocole justement. Et ça me rappelle beaucoup de bons souvenirs...
Tam a écrit : ↑02 mai 2023, 14:59
Idem pour moi.
Le running c'est vachement plus "hypnotique"
Quand tu coures dans ta fréquence cardio dite fondamentale (60-70% de ta fréquence max), ta respiration est calée ainsi que tes foulées, tu rentres dans une sorte d'hypnose (une bulle) et tu as le sentiments de pouvoir continuer ainsi sans t'arrêter.
En piscine, je retrouve la même chose.
En VTT, non, trop irrégulier comme effort.
J'ai un neveu qui était devenu addict au Vdr en recherchant sa dose d'endorphine, il a dû se calmer
Se lever à 4h00 du matin du matin pour aller rouler avant le boulot c'est quelques fois limite
Sur des parcours vélo très plats j'ai cette sensation avec l'arrivée du second souffle. Sinon quand j'ai attaqué le VTT en 2013 la fatigue était en second plan sur les motivations derrière cette sensation d'être sur le vélo qui m'excitait. Depuis c'est malheuresement passé et la perspective de l'effort me fait revoir à la baisse ma quantité de sortie.
Mais je remets volontier la faute sur les accrocs de parcours (trop de taf, blessures, poids, la spirale, pu......)
Birdy38 a écrit : ↑25 mai 2023, 17:32
Sur des parcours vélo très plats j'ai cette sensation avec l'arrivée du second souffle. Sinon quand j'ai attaqué le VTT en 2013 la fatigue était en second plan sur les motivations derrière cette sensation d'être sur le vélo qui m'excitait. Depuis c'est malheuresement passé et la perspective de l'effort me fait revoir à la baisse ma quantité de sortie.
Mais je remets volontier la faute sur les accrocs de parcours (trop de taf, blessures, poids, la spirale, pu......)
Je crois que j'aime bien forcer, voire me pousser dans les rouges. J'ai même trouver une astuce pour faire du sport le weekend (normalement le we c'est famille). J'ai commencé à décaisser le fond du jardin, pelle, pioche puis évacuer les gravats .
Pour le trop de taf, je décale souvent certaines partie de mon taf à la fin de soirée (21h30-00h) ou tôt le matin (de 6h30 à 8h) ce qui me permet de débloquer une paire d'heures dans la journée. Ceci dit, mon travail me permet cette souplesse.
. Il y a une question qui me tarabuste quand je cours au bout de 20/30 mn les endorphines arrivent et j'ai l'impression que je pourrais courir sans plus jamais m'arrêter, et je n'ai plus trop l'impression de forcer. Avec le vélo je n'ai jamais eu cette sensation, il y a toujours un effort à fournir et j'ai pas cette sensation de pouvoir rouler jusqu'au bout du monde sans m'arrêter.
